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«Le troisième trimestre a été difficile et nous ne sommes pas satisfaits de l’évolution des revenus», admet le directeur général Casper von Koskull.

L’opération permet au numéro un bancaire helvétique de renforcer sa présence en Europe et en particulier sa position dans la gestion de fortune auprès de la clientèle scandinave.

La fin de l'assouplissement quantitatif de la BCE pourrait renforcer la valorisation des marchés financiers.

Le bénéfice net trimestriel fléchit de 2,8%. La banque suédoise dirigée par Casper von Koskull maintient le cap pour 2018.

La première banque scandinave obtient le feu vert des actionnaires. Elle sera sous l’autorité de l’Union bancaire européenne.

Les activités reprises portent sur une masse de 13 milliards d’euros.